[Day 1] 06:00 - 07:00 Un vieil immeuble du Bronx

Fixant ma montre, je constate l'arrivé de 6h, je fais un rapide calcule dans ma tete, et ma lassitude prend le dessus, on m'a dit d'attendre 6h, il est 6h, je n'attends pas de nouvelles ordres, et je me prepare a lancer l'assaut. Je viens de recevoir sur mon PDA le planc de l'appartement, je m'accroupis avec mes hommes autour de moi.

" Bon 2 chambres et un sejour, vu l'heure, ils seront probablement en train de dormir, je vais passer devant, suivis par vous... "

Je designe un des hommes de Monroe.

" ... Vous me couvrez, et nous securisons le séjour, Monroe, vous passerais ensuite avec votre homme avec vous, vous allez dans la chambre face a l'entré, et pareille vous me la securiser. VOus deux, vous entrez enfin l'un s'occupe de la chmabre restante, et le dernier va a la cuisine. On a 10 secondes pour entré, désarmé, et sécurisé la zone, si ca prend plus de temps que ca, on a merder, et ca va merder. "

Je range alors mon PDA et regarde un a un les mebres de mon équipe.

" Vous avez compris ?? "

Les hommes se mettent en position devant la porte de l'appartement.
Un des hommes de Monroe s'avance vers la porte, un bélier en main.
Il prend son élan et envoie de toutes ses forces le bélier frappé la porte d'entrée de l'appartement qui éclate sous le coup, s'ouvrant d'un coup.
Il recule d'un pas pour vous laisser passer, jette son bélier au sol et pénétre en dernier dans l'appartement.

Saito, tu entres le premier, suivit par Darren, un homme de Monroe qui te couvre.
Tu prends à gauche et pénétres dans le séjour.
La pièce est remplit de table sur lesquelles sont entassés des ordinateurs.
Tu couvres à gauche en entrant, Darren couvre à droite. Personne n'est présent dans cette pièce.
Vous terminez de faire le tour de la pièce quand vous attendez des éclats de voix dans une des chambres.

"BOUGEZ PLUS. LES MAINS SUR LA TETE. BOUGE PLUS, CONNARD"
Puis dans la radio :
"Bravo 1, 2 suspects neutralisé."

Puis un coup de feu retentit dans la deuxième chambre, suivit de 2 tirs de fusil à pompe.
Un silence et la radio retentit :
"Un agent blessé, suspect éliminé.... John est blessé..."

" Et merde putin !!!! "

Je me precipite dans la chambre et constate les dégats, je m'accroupit a coté de John en me tournant vers les deux suspects aprehendés.

" Enmenez moi ces deux la en bas pret a etre conduit a la cellule, je sais pas ce qu'ils veulent en faire. "

Je me penche sur John et constate comme je peux les dégats qu'il a subit,dans un meme temps je contacte la cellule.

" Ici l'agent Kusanagi, deux suspects aprehendés qui vont vous etre envoyé, un éliminé, et un agent a terre, demande ambulance d'urgence. "

En pénétrant dans la chambre, tu trouves Levis en train de repousser du pied l'arme du suspect. Un calibre 9mm qu'il éloigne du suspect qui gît inconscient.
« Le suspect doit être sérieusement sonné mais il est vivant. John s’est fait allumé en entrant. Le mec était derrière la porte. »

Voyant que tu t’occupes de John, il s’occupe de menotter le suspect.

En même temps que tu passes le message radio, tu inspectes John. La balle l’a frappé en plein torse mais heureusement le projectile a été stoppé par son gilet pare-balle.
Tu défais les scratch qui fixe le gilet pour lui donner de l’air tandis qu’il revient à lui.
Rapidement il reprend ses esprits et arrive même à se relever. Il portera un gros hématome sur le torse pendant quelques jours mais n’est pas blessé.

Reprenant mon micro je rectifis la situation.

" La cible n'est pas morte, elle est juste sonné, et la balle a été arreté par le gilet de John, il va bien, juste un peu sonné. Terminé. "

Je tends alors ma main a John piur l'aider a se reveler, et regarde le reste de l'équipe, voir si tout le monde est ok. Je reprends alors mon micro.

" Les 3 suspects sont apprehendés, nous rentrons au QG. "

Je fais alors signe a mes hommes de sortir de l'imeuble avec eux les 3 hommes arreté, puis je contacte les vehicules qui nous attendait un peu plus loin.

" C'est bon mission terminé, venez nous recuperer au pied de l'imeuble. "

Tandis que tu retournes vers le séjour, quelque chose attire ton attention.
Posé sur une longue table, 2 ordinateurs et plusieurs écrans sont installés.
Tu observes plus attentivement les ordinateurs, cherchant à comprendre ce qui a attiré ton attention.
Tu remarques alors une boîte d'environ 30 cm de côté, noire, posée sous la table de laquelle parte de nombreux fils reliés à chaque ordinateur.
Tu n'as jamais vu un équipement informatique de la sorte et les branchement réalisés avec du câblage électrique sont étranges.

Alors que mes hommes et ceux de Monroe sont en train de sortir de l'appartement, je rappelle les miens, faisant signe a Monroe de continuer dehors et d'amener les suspects aux véhicules. Ils me rejoignent alors au salon, ou ce trouve cet appareil étrange pour moi.

" Victor, Chad, Alan... Ca vous dit quelques choses un truc comme ca ? Je sais pas ce que c'est mais ca a pas l'air d'etre du bon. "

Chad observe la boîte quelque instant, puis s'accroupit sous la table et inspecte avec minutie les câbles qui sortent de la boîte avant de marmonner quelque chose :

"Ces mecs sont de vrais tordus...."

Il se relève avec précaution :

"Je pense que les câbles sont surement connectés à un dispositf dans les unités centrales qui déclenchent un signal si une personne tente de forcer l'accès aux ordinateurs ou quelque chose d'autre.
Dans la boîte, il y a soit un générateur qui grille les composants des PC en cas de déclenchement, soit des explosifs qui font tout sauter.
Tout dépend à quel point ces hommes sont bargots.......
En tout cas, à votre place, j'éviterais de toucher à ça !!!"

06 : 19 ....

J'écoute avec attention les paroles de Chadd, puis je contact la cellule.

" Ici l'agent Kusanagi, on vient de trouver des joujou informatiques relié a un systemes particuliers. D'apres un de mes agents il s'agirait d'un systeme qui grillerait les composants de l'ordinateur si on y touchait, ce qui me laisse a penser qu'il y a la dedans des trucs qu'ils ne veulent pas qu'on voit. Je ne sait pas si il est possible de les déplacé, et si ce n'est pas le cas, il me faudrait un expert sur place si vous le jugez necessaire pour essayer de voir si ces petits bidules ont des truc a nous apprendre. "

Etonné, mais absolument pas désemparé, je donne mes ordres comme si je les avais déjà donné des centaines de fois auparavant:


Oh?
Hum... Entendu, Kusanagi.

Voici comment nous allons procéder...
Vous allez commencer par m'envoyer de jolis photos de ces dispositifs, que je puisse les soumettre à nos équipes, ici.
Ensuite, vous allez me fouiller minutieusement l'endroit, précautionneusement. Cherchez les dispositifs éventuels.
Pendant que vous déléguez vos hommes, l'équipe Oméga là dessus, vous demandez à l'équipe bravo de maintenir sous contrôle les deux prisonniers, un dans chaque coin, à bonne distance.
Vous allez mener un interrogatoire rapide. Je veux savoir si l'un des deux a posé ces dispositifs. Si ce n'est pas le cas, je veux son nom, surnom, ou signes distinctifs reconnaissables. Ca pourrait nous aider si je ne trouve personne.
Une fois que vous avez trouvé ça, vous me les renvoyer à la cellule avec l'équipe de Monroe, et vous restez en stand-by dans l'immeuble, jusqu'à ce qu'on récupère tout ce matos.

Des questions?

" Aucune monsieur "

* Putin mais quel con a pas vouloir faire de connerie je me retrouve a faire le bleu et a demandé quoi faire, je vais me faire saquer je sens. Enfin bon autant faire les choses bien maintenant. *

Je me retourne vers les hommes de Monroe.

" Foutez moi ces mecs dans l'une des chambres, mains attachés et vous me les surveillez, j'arrive. "

Je fais alors un signe a John pour qu'il vienne a coté de moi.

" Bon tu va me faire un topo complet sur le matos du salon, ce que tu connais ce que tu connais pas, a quoi ca sert, tu prends des photos et tu envois ensuite tout ca a la cellule. "

Je me retourne alors vers le reste des hommes de mon équipes.

" Fouillez moi le reste de l'appart, soyez prudent, vu ce qu'on a ici il y a peut etre des trucs qui peuvent nous peter a la gueule ou autre, alors un max de precautions, executions. "

Je me dirige alors vers la chambre ou les prisoniers attendent sagement, tenue an jous par les hommes de Monroe. Je range alors mon arme, me trouve une chaise et la palce juste devant l'un des hommes, le dossier en avant et je m'assois dessus. Je sors une cigarette et me l'allume, puis sort un couteau a cran d'arret et je commence a faire jongler la lame.

" Bon mec, je me doute que ma gueule de niac ne doit pas te revenir, alors soit bref et ecourte tes souffrances, plus vite tu m'auras dit ce que vous faites et ce que vous planifiez ici, et plus vite tu ira retrouver tes potes skin en tole et vous pourrez vous masturber a volonté sur Mein Kampf. OU alors tu rendsles choses compliqué, et on va, enfin, tu vas passé une super mauvaises matiné. "

Je finis ma tirade en tirant une longue bouffé sur ma clope en attendant sa réponse.

John se met sans attendre au travail et inspecte avec minutie le matériel installé dans le salon, prenant des photos sous tous les angles et les transférant à la CTU.


Installer sur ta chaise, tu sors ta tirade.
Un des trois prisonniers, un grand blond à l'allure athlétique t'écoute puis avec un sourire narquois :

"Me sort pas ton baratin, bridé. Je connais mes droits. Pas la peine de te fatiguer, je ne parlerais qu'en présence de mon avocat."

Je lui rends alors son sourire narquois.

* Bon tant pis, je me ferais tirer les bretelles par le Dogue... *

" C'est vrai que tu as des droits. Mais tu dois savoir que dans ce beau pays, j'ai moi aussi des droits, celui de vivre, d'exister, un truc que les mecs dans ton genre n'ont pas l'air de vouloir comprendre ou accepter. "

Je me leve alors, m'approche de lui en tirant une taff de ma clope. Finissant de jongler avec mon couteau, je le lance par terre et le plante dans ses orteils, puis avec ma main maintenant libre je lui saisis et lui compresse fortement la machoire pour l'empecher de gémir, ce qu'il doit surement se retenir de faire de toute facon.

" Mais il y a aussi des mecs qui comme moi, qui lorsqu'ils ont a faire a des mecs comme toi, ben on tendance a oublier leurs droits également, ou a ne plus les accepter non plus. "

Je pense alors aux deux membres de l'équipe Bravo derriere moi qui me feront un jolie costume devant le Dogue, mais rien a foutre, un mec comme ca, je peux pas le laissé tranquille, j'approche alors ma cigarette de son oeil, en esperant qu'il se mette rapidement a table, lui montrant bien sur mon visage que j'irais jusqu'au bout si lui ou un de ses potes ne crache pas le morceau.

L'homme pousse un cri de douleur rapidement étouffé par ta main au moment où ton couteau se plante dans son pied.
Il se débat, mais les mains menottés dans le dos et la compression que tu effectues sur sa machoire l'empêche de pouvoir se dégager.
Le deuxiéme prisonnier reste immobile, surpris par ton action mais le troisième homme tente de se lever pour s'interposer mais il est rapidement remis en place, sans ménagement par les membres de l'équipe Bravo.

"Arrêtez ce type, il est complémentent bargot" crie le 3éme homme.
"Il va lui crever l'oeil, arrêtez, arrêtez. Dîtes nous ce que voulez et on copérera. Mais arrêtez !!!"

* Mon coup de pression a marche, putin quelle merde si ca avait foire, j'aurais ete comme un con. *

Sans lacher ma prise, je tire alors un nouvelle taff de ma clope et regarde l'homme qui vient juste de parler. Je laisse un petit moment d'attente, puis je lui reponds.

" Et bien accouche. Commencons par ce que c'est que ce bordel dans le salon, a quoi ca sert, et que projetez vous d'en faire, ca sera un bon debut. "

[EDIT by Jason : Les communications ayant été coupés durant la "discussion", tu ne disposes pas des détails de l'interrogatoire...]

Le 2éme prisonnier, celui qui n'avait pas bougé, un homme d'une vingtaine d'année, plutôt svelte et peu musclé en rapport avec les 2 autres prend la parole d'une voie peu assurée.

"Ce sont mes ordinateurs. Ils hébergent un serveur web et le site web de notre groupe. Il n'y a rien d'illégal et vous n'avez absolument pas le droit d'agir de la sorte. Nous agissons dans le cadre de la liberté d'expression...."

Il semble très impressionner par votre présence, vos armes et tenues d'assaut semblent le mettre mal à l'aise.

John t'informe dans ton oreillette qu'il vient d'envoyer toutes les photos à la cellule.

Ayant entendu la reponse de John, je me tourne, lachant ma prise et lui demande de venir dans la piece ou je suis, je me retourne alors vers les hommes que j'interroge, et nottament celui qui vient de me parler.

Je le fixe avec insistance, lui montrant que je ne le crois pas une seule seconde. Retirant le couteau du pied ou il était je l'essuit sur la veste du meme homme, je lache alors ma clope et l'ecrase par terre.

" Ecoute moi bien mon gars, moi et les PC ca fait 2, j'y connais que dalle, je ne sais pas me servir d'un clavier, je galere a l'allumer, et meme si j'y arrive, je suis incapable de faire quoi que se soit avec. "

Je me sors alors une deuxieme clope de mon paquet, et me prepare a l'allumé, et en me retournant vers un des hommes de Monroe.

" Putin je peux pas supporter de fumer 2 clopes d'affilés, serieux c'est l'angoisse, tu pus encore de la gueule, ca te monte a la tete, non serieux ca le fait pas. "

Je finis alors de l'allumer, et je me retourne vers le dernier homme qui a parler.

" Bon c'est pas grave, je sens que je vais lui trouver rapidement une autre utilisation. Bon pour en revenir aux ordinateurs, comme je t'ai dis j'y connais rien, cette merde que t'as la tu peux me faire croire qu'elle sert a faire des glacons ou a griller du pain je serais forcer de te croire, sauf qu'il y a dans mon équipe des mecs ... Putin un truc de fou, il te demonte un téléphone portable et il t'en fait une console de jeux vidéo, moi ca m'épate je comprends pas comment ils font. Enfin bon c'est pas le sujet. tout ca pour te dire que si toi tu me le dis pas, lui me le diras, sauf que si ca viens de lui je vais etre enerver, si ca vient de toi, je serais surement plus calme, et comme on va passer une bonne partie de la matinée ensemble, c'est a toi de voir ce que tu preferes. "

Il te répond d'une voix peu assurée :

"Faut me croire, c'est la vérité. Il n'y a rien de particulier dans ces machines. Ecoutez, je suis responsable de notre site web. J'héberge les pages dans la machine, si vous voulez je peux vous montrer, vous verrez par vous même...."

Il fait mine de se lever et te regarde pour savoir s'il peut ou pas se lever.
"Laisser moi vous montrer. Enmenner moi à mes ordinateurs et je vais vous montrer tout ce que vous voulez voir. Je vous en prie, faut me croire."

Le troisième homme s'énnerve :
"Tu vas le fermer, connard ou c'est moi qui vais te faire fermer ta grande gueule. Tu comprends pas qu'ils ne peuvent rien contre nous."

De ma voiture j'essaye de joindre l'Agent Kusanagi et son equipe.
J'apelle sur le portable du chef de l'unité. Apres quelques sonnerie Saito décroche.

Saito c'est Kevin à l'appareil.

J'ai reçu les photos que vous avez prises. Je crois savoir ce que c'est.
Je suis en route pour vous rejoindre. Surtout ne touchez à rien et ne laissez pas les suspect s'en approcher il serait capable de détruire toutes les preuves.

Voyant la facon dont semble avoir peur, je reste septique quand au fait qu'il puisse m'ambobiner, néanmoins, il lui serait facile de faire des trucs que je ne comprene pas, je decide alors de le laisser la.

" Bon tu veux vraiment me prendre pour un con decidement, reste assit je te jure que si ce que tu avancais était un mensonge tu vas vraiment le regretter. "

Je decroche alors mon téléphone, Kevin m'indique qu'il arrive.

" Ok depeche toi, on t'attends. "

Je me retourne alors vers le troisieme homme, celui qui semblait un peu jouer les gros bras, je le fixe un long moment.

* Ils ont bien quelque chose a se reprocher, mais comme ca, j'arriverais a rien, si je le cogne pas il me lachera rien, et je sais pas si je ferais bien de le cogner, meme si ca me demange. *

Je tire alors une latte de ma clope.

" Bon on a rien contre toi, mais tu peux pas dire ce que c'est, sinon on aurait alors quelque chose. J'en conclus ca car si c'est pas le cas ca veux dire que tu m'as fait me lever super tot pour que dalle, que t'es en train de passé une matinée de merde, et surtout que si t'avais ouvert ta grande gueule, on serait tous chez soit en train de boire un café peinard. "

Finissant ma phrase je lui place une droite dans la machoire.

" Mais tu veux pas que ca soit aussi simple, j'ai un pote en route qui va me dire tout ce que je veux savoir sur cette merde, mais comme j'ai dis a ton pote tout a l'heure, j'aimerais que ca vienne de vous. "

Je lui redonne un coup, puis lui saisit les cheveux et approche delicatement ma clope d'un plaie que je viens juste de faire.

" Donc maintenant a toi de voir ce que tu prefere, mais je perds patience, si tu nous considere comme des flics normaux tu vas tombé de tres haut, je ne le repeterais pas une nouvelle fois. "

La cigarette efleure maintenant la peau, commencant a le bruler surement.

Au moment où tu approches ta cigarette de la plaie, tu peux voir un regard désapprobateur de la part des hommes de l'équipe bravo.
Mais ils ne font rien pour t'en empêcher. C'est le crépitement de la radio qui t'interrompt.
C’est Darren, un homme de l’équipe bravo qui est resté à l’extérieur et qui surveille les véhicules.

- Bravo 3 à Omega Leader. J’ai un suspect qui approche à pied de l’immeuble. Il est à une trentaine de mètres de ma position et il ne semble pas m’avoir repéré.
Mais je doute qu’il ne remarque pas nos véhicules garés devant l’entrée.
J’attends vos instructions.
Je confirme, c’est bien un membre de Race Pure qui approche.
Je fais quoi ?

Saito :
Des coups de feux résonnent en même temps dans ton oreilette et à l'extérieur de l'immeuble.
Tu ne parviens pas à définir précisement l'origine des coups de feux mais ils proviennent d'en bas, au pied de l'immeuble.
Darren crie dans la radio :

-Ici Bravo 3, je subis des tirs du suspect. J'ai besoin de renfort.

Un échange de coup de feu se fait entendre à nouveau.


Kevin :
Tu approches de l'immeuble en voiture quand devant toi, planqué entre 2 voitures en stationement, 1 individu est en train d'ouvrir le feu en direction de l'entrèe de l'immeuble.
Il tire sur un gros SUV noir garé devant la porte de l'immeuble. Tu reconnais le SUV, c'est un des véhicules de la CTU, utilisée par les équipes de terrain.